L’objectif de cette vidéo/recherche est de montrer, à travers une revue exhaustive de la littérature sur le sujet, que maîtriser une organisation ne peut se limiter aux aspects formels du contrôle (hard controls) et que les aspects informels (soft controls) sont à la fois délicats à définir et complémentaires pour couvrir au mieux les risques. La première partie est consacrée à la définition et à la mise en place, parfois inflationniste, de strates de contrôles formels, ainsi qu’aux problèmes liés à l’ajout successif de ces réglementations. La seconde partie tente de définir ou, du moins, d’approcher, les aspects des contrôles informels, afin d’aboutir, dans une dernière partie, à la question de la nature de l’interaction entre les deux aspects du contrôle interne.

Tawhid Chtioui, emlyon business school

]Tawhid Chtioui

Professeur et Dean d’emlyon business school Afrique, mes recherches portent essentiellement sur des problématiques de management de la performance, notamment le contrôle de gestion et les changements organisationnels, l’efficacité des contrôles « doux », la gouvernance et la performance organisationnelle. Je travaille actuellement principalement sur le contexte et les problématiques spécifiquement africaines. J’ai occupé des fonctions scientifiques et dirigeantes dans différentes écoles de commerce en France et enseigné dans de nombreuses écoles et universités en France et à l’international. Je suis également un « serial entrepreneur », et j’ai mené des activités de consulting et formation professionnelle.

Plus d’information sur Tawhid Chtioui :
• Son CV en ligne
• Sa page ResearchGate


Pour approfondir…

  • Thiery-Dubuisson S., Chtioui T. (2018). L’effet Janus du contrôle interne ou l’interaction de ses aspects formels et informels. Revue des Sciences de Gestion, Forthcoming.